En finir avec les dépendances
Concernant les dépendances (comme pour les peurs irraisonnées), c’est le grand renouveau de l’hypnose depuis le début des années 2000 en France. Aux États-Unis cela a commencé au début des années 1980, avec la médiatisation du travail de Milton Erickson. Cela s’est accéléré grâce à Richard Bandler et Jonh Grinder, co-fondateurs de la Programmation Neuro Linguistique.
L’intérêt de l’approche de cette « Nouvelle Hypnose » est sa rapidité d’intervention, le fait qu’elle soit orientée vers une efficacité maximum.
En effet, concernant les dépendances, il est très fréquent qu’on obtienne une amélioration notable -si le consultant s’investit dans la thérapie bien sûr.
Une étape importante : le sevrage physiologique
Pour se défaire de certaines dépendances, il faut parfois passer par une phase de sevrage. Il est important de préciser que la phase de sevrage physiologique s’il y a lieu – et c’est seulement le Médecin traitant qui en décidera- doit être effectuée avant la thérapie. Cela sous surveillance médicale, et même parfois en environnement médicalisé.
Notez bien : vous devez prendre l’avis de votre médecin traitant. L’hypnothérapie ne se substitue en aucun cas à un avis médical ou à des traitements médicaux.
L’Hypnothérapie et les dépendances
Concernant les peurs irraisonnées, le consultant va vivre assez rapidement la sensation que son système nerveux se libère et s’apaise profondément. Concernant les dépendances, c’est plus compliqué… C’est souvent la guerre à l’intérieur du consultant. Il faudra plusieurs séances pour commencer à découvrir en lui une réconciliation qui va devenir de plus en plus profonde.
Nous sommes encore marqués par l’influence de l’hypnose du 19eme siècle. Certaines personnes viennent au cabinet avec l’idée que l’hypnotiseur va tout simplement les dégouter du tabac, drogues, alcool ou du sucre…
Alors j’explique que ce qu’on me demande d’enlever (sucre , alcool, tabac, …) c’est juste … la béquille, le « médicament » … Qu’il serait surement plus intéressant, plus « écologique », d’aller directement régler ce qui se cache derrière cette consommation exagérée. Cela sera beaucoup plus durable et efficace.
Quel intérêt pour la personne d’arrêter de fumer -par exemple- si c’est pour se mettre à boire ou manger déraisonnablement ?
Nous prendrons donc le temps d’explorer, d’interroger les comportements compulsifs. Le travail thérapeutique doit être harmonieux et il est important que le consultant découvre un nouvel équilibre.
Bien sur, Thérapie Brève ne signifie pas thérapie instantanée … C’est au travers d’un suivi régulier que les résultats se déploient durablement.
Le consultant va vivre peu à peu au travers des séances une saine et profonde réconciliation avec lui-même !
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